On le sait, avec la claque de cette pandémie qui nous écrase : la perte de biodiversité est notre talon d’Achille !
L’équilibre du monde vivant passe par son respect par l’espèce humaine. Car une espèce vivante, « intelligente » ou pas, qui détruit son habitat est vouée à disparaître.
Une forêt auto-gérée, base de biodiversité
Une forêt primaire est un espace naturel qui n’est et n’a été ni exploitée ni défrichée par les humains. C’est de l’auto-gestion végétale qui suit son propre rythme. Les arbres poussent, s’organisent, vivent et meurent sans intervention humaine. Cela engendre moult phénomènes nécessaires au développement du vivant. Des micro-organismes, les plus nombreux, aux plus visibles. 1
Pour en arriver là, il faut du temps et de l’espace. Choses que l’Homo sapiens occidentalis a tendance à oublier mais qui sont vitales pour sa conservation.
Sans les arbres, qui absorbent du gaz carbonique, rejettent de l’oxygène et purifient l’atmosphère, nous ne pourrions pas respirer car la photosynthèse est notre seule source d’oxygène, et l’espèce humaine serait alors gravement menacée. 2
Une forêt primaire est la source d’une immense biodiversité, l’habitat d’innombrables espèces vivantes qui ne peuvent vivre ailleurs. Cela crée un écosystème auto-régulé, un équilibre vital à tous.
Dans notre « civilisation » si savante et avancée et qui doit tout aux arbres, il est incroyable qu’un tel espace n’existe pas (ou si peu 3).
Alors, pour soutenir ce projet de faire renaître une forêt primaire en Europe de l’Ouest, faisons nombre, soutenons l’association 4 en y adhérent.